Financer votre projet Immobilier en Afrique

RESIDOMIA est à vos côtés à chaque étape de votre projet immobilier dans plus de 12 pays africains

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Comment Residomia sélectionne -t-elle les projets immobiliers à financer

RESIDOMIA sélectionne les projets immobiliers à financer en s’appuyant sur les critères suivants :

  • Connaissance du terrain et réseau local
    Notre connaissance approfondie du terrain africain et le réseau qu’ils y ont développé au fil des années sont des atouts certains dans le choix des projets qu’ils décident d’accompagner.
  • Accompagnement de bout en bout
    RESIDOMIA accompagne les projets depuis la phase d’étude jusqu’à la phase de réalisation, ce qui leur permet d’évaluer et de sélectionner les projets dès les premières étapes.
  • Expertise sectorielle
    Notre expertise dans le secteur immobilier en Afrique, acquise grâce à une présence locale établie et notre réseau, nous permettent de bien évaluer les opportunités et les risques liés aux différents projets potentiels.

 

RESIDOMIA tire parti de sa connaissance approfondie du marché immobilier africain, de son implantation locale et de son expérience pour sélectionner judicieusement les projets immobiliers à financer, en les accompagnant sur l’ensemble du cycle de vie depuis les études préliminaires jusqu’à la réalisation finale.

Les 5 principaux avantages de passer par Résidomia pour financer votre projet immobilier en Afrique

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Gain de temps

Residomia vous évite d’avoir à contacter et négocier avec de multiples banques. Il centralise toutes les démarches pour vous.

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Meilleurs taux d'intérêt

Grâce à son expertise et son pouvoir de négociation, Residomia peut vous obtenir des taux plus avantageux que si vous négociiez seul avec les banques.

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Accompagnement personnalisé

Residomia vous conseille et vous guide à chaque étape du processus de prêt, en s’adaptant à votre situation spécifique.

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Accès à un large réseau bancaire

Nous travaillons avec de nombreuses banques, vous donnant accès à un vaste choix de prêteurs potentiels.

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Expertise technique

Nos conseillers maîtrisent les aspects techniques et réglementaires complexes liés aux prêts immobiliers, notamment pour les expatriés et non-résidents.

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La réponse se trouve sûrement ici

Apport personnel
Les banques exigent généralement un apport personnel de 10 à 30% du montant du bien immobilier à acquérir. Cet apport démontre la capacité d’épargne et l’engagement financier du demandeur.

Garanties
Une garantie hypothécaire sur un bien immobilier possédé dans le pays d’origine ou un nantissement sur un contrat d’assurance-vie est souvent requis pour sécuriser le prêt.

Revenus stables
Avoir des revenus stables et traçables, idéalement sous forme de salaire domicilié dans la banque, est un critère essentiel. La part des salariés dans la population active étant faible en Afrique, cela restreint l’accès au crédit immobilier.

Taux d’endettement
Le taux d’endettement du demandeur, c’est-à-dire le ratio entre ses dettes et ses revenus, doit être raisonnable selon les normes de la banque.

Assurance emprunteur
Souscrire à une assurance emprunteur auprès d’une compagnie choisie par la banque est généralement obligatoire.

Dossier solide
Monter un dossier complet avec les pièces justificatives requises (bulletins de salaire, justificatifs de domicile, etc.) est indispensable pour l’étude du dossier par la banque.

En somme, les banques cherchent à s’assurer de la solvabilité et de la capacité de remboursement du demandeur sur le long terme avant d’accorder un crédit immobilier en Afrique.

Les principaux documents généralement requis pour obtenir un crédit immobilier en Afrique:

Documents d’identité et de revenus
– Pièces d’identité (carte d’identité, passeport, etc.)
– Bulletins de salaire récents
– Relevés bancaires
– Justificatifs de domicile
– Contrat de travail/CDI pour prouver des revenus stables

Documents relatifs au bien immobilier
– Compromis de vente signé avec le vendeur
– Plans et devis du bien à acquérir
– Titre de propriété du bien

Documents financiers
– États financiers des 3 dernières années (pour les entreprises)
– Justificatifs d’apport personnel (10 à 30% du montant)
– Certificat PME (pour les entreprises)

Autres documents
– Lettre de demande de crédit
– Documents de garantie (nantissement, hypothèque, Garantie, etc.)
– Assurance emprunteur obligatoire
– Dossier complet avec toutes les pièces justificatives requises

Il est crucial de bien monter un dossier solide avec l’ensemble des documents demandés par la banque, car ceux-ci permettent d’étudier la solvabilité et la capacité de remboursement du demandeur sur le long terme avant d’accorder le crédit immobilier.

 

Frais de dossier
Les banques facturent des frais de dossier pour l’étude et le montage de la demande de crédit immobilier. Ces frais sont généralement compris entre 1% et 2% du montant du prêt.

Frais de garantie
Une garantie est exigée par les banques, souvent sous forme d’hypothèque sur le bien immobilier. Les frais de garantie peuvent atteindre 2% du montant emprunté, auxquels s’ajoutent des frais fixes d’environ 500 euros.

Assurance emprunteur
La souscription à une assurance emprunteur (décès, invalidité, incapacité) auprès d’une compagnie choisie par la banque est obligatoire. Le coût varie selon l’âge, l’état de santé, etc.

Frais de notaire
Pour l’enregistrement de la vente, les frais de notaire peuvent représenter jusqu’à 5% du prix du bien, TVA et droits d’enregistrement inclus.

Intérêts du prêt
C’est le coût principal du crédit. Les intérêts sont à rembourser mensuellement en plus du capital emprunté sur toute la durée du prêt.

Frais de courtage (optionnel)
Si un courtier a été utilisé pour monter le dossier de crédit, des frais de courtage de 100.000F CFA (150 euros) à 400.000 F CFA (600 euros) environ sont facturés.

Il est crucial de bien prendre en compte l’ensemble de ces frais annexes lors du plan de financement, car ils peuvent représenter un coût non négligeable en plus du montant emprunté.

Les frais de notaire sont généralement inclus dans le montant du crédit immobilier accordé par les banques en Afrique. Voici les détails :

  • Les frais de notaire représentent environ 5% à 7% du prix d’achat du bien immobilier au Sénagal. Ils comprennent les droits d’enregistrement (4%), les frais de conservation foncière (1,5% + frais fixes), les frais de dossier et les honoraires du notaire (0,5% à 1,5%).
  • Certaines banques comme BANK OF AFRICA proposent des offres de crédit immobilier couvrant jusqu’à 105% de la valeur du bien, permettant ainsi d’inclure les frais de notaire et autres frais annexes dans le financement.
  • Lors de l’étape 5 du processus d’obtention d’un crédit immobilier, le client passe chez le notaire qui enregistre la vente, avec des frais pouvant atteindre 5% du prix du bien, TVA et droits d’enregistrement inclus.
  • La banque vire ensuite le montant total du crédit, incluant le prix d’achat et les frais de notaire, directement au notaire lors de l’étape finale.

Ainsi, bien que payés séparément au notaire, les frais de notaire sont généralement pris en compte et inclus dans le montant global du crédit immobilier accordé par les banques en Afrique, permettant de financer l’intégralité des coûts liés à l’acquisition du bien immobilier.



Voici les principaux signes qui permettent d’identifier un promoteur immobilier fiable en Afrique :

Expérience et ancienneté sur le marché
Un promoteur établi depuis longtemps avec de nombreuses réalisations à son actif est généralement un gage de fiabilité et d’expertise dans le secteur immobilier local. Vérifiez la trajectoire et le portefeuille de projets livrés par le promoteur.

Qualité des réalisations passées
Visitez des propriétés livrées par le promoteur pour inspecter les matériaux utilisés, les finitions, le respect des délais et de la conformité par rapport aux engagements initiaux. La qualité des ouvrages reflète ses standards.

Agrément et immatriculation officiels
Selon la réglementation en vigueur dans de nombreux pays africains, les promoteurs doivent obligatoirement être agréés par les autorités et immatriculés au registre du commerce pour pouvoir exercer légalement. Vérifiez qu’ils disposent bien des agréments requis.

Transparence et communication
Un bon promoteur fait preuve de transparence sur les coûts, les délais, les garanties proposées et reste disponible pour répondre à vos questions tout au long du projet.

Solidité financière
Renseignez vous sur la santé financière du promoteur, sa capacité à mobiliser les financements nécessaires et à mener à bien les projets sans risque d’abandon en cours de route.

Reconnaissance professionnelle
Un promoteur réputé est souvent membre d’organisations professionnelles comme les fédérations de promoteurs immobiliers nationales. Les récompenses, la couverture médiatique positive et les listes officielles d’agrément sont aussi de bons indicateurs.

Témoignages de clients satisfaits
Les retours d’expérience et le niveau de satisfaction des anciens clients sur la qualité des services, le respect des engagements et le professionnalisme du promoteur sont révélateurs de sa fiabilité.

En somme, privilégiez un promoteur expérimenté, agréé, transparent, réactif, financièrement solide, qui livre des produits de qualité conformes aux promesses initiales, et qui bénéficie d’une bonne réputation auprès de sa clientèle et du secteur.

 

Oui, il existe des garanties hypothécaires en Afrique, bien que leur développement soit encore limité dans de nombreux pays. Voici un résumé des principales informations sur ce sujet :

Garanties hypothécaires en Afrique

  • Dans l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), il y avait environ 15 000 nouveaux prêts hypothécaires par an en 2013, pour un déficit estimé à 3,5 millions de logements.
  • Les instruments de garantie hypothécaire permettent de réduire les risques pour les prêteurs et d’avoir un effet de levier pour développer les prêts immobiliers, notamment les micro-crédits logement pour les ménages à faibles revenus.
  • Le succès de ces dispositifs est marquant au Maroc avec 220 000 bénéficiaires depuis 2004, 65 milliards de dirhams de crédits mobilisés (environ 6,1 milliards d’euros) et une réduction du déficit de logements de 800 000 unités entre 2002 et 2018.
  • Le déploiement est plus timide au Mali, au Togo, en Côte d’Ivoire, au Bénin ou au Sénégal, en raison de capitaux insuffisants, de critères d’admissibilité trop contraignants et d’une coordination difficile avec les banques existantes.
  • Pour une mise en œuvre réussie, il faut développer conjointement les instruments de garantie hypothécaire et les services de microfinance.
  • L’absence de financement hypothécaire est un indicateur de la prédominance des échéances courtes dans les systèmes bancaires africains, alors que la demande de logements, notamment en zones urbaines, continue d’augmenter rapidement.

En somme, bien que les garanties hypothécaires se développent lentement en Afrique, elles sont considérées comme un levier important pour faciliter l’accès au financement immobilier, notamment pour les populations à revenus modestes.

D’après les résultats de recherche, les deux principaux types de garanties hypothécaires utilisés en Afrique sont :

  • Garanties partielles de crédit (GPC)
    Les garanties partielles de crédit couvrent une partie des remboursements prévus sur les prêts privés ou émissions obligataires liés au financement de projets ou d’investissements. Elles permettent de partager les risques entre le prêteur et le garant.
    Dans l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), environ 15 000 nouveaux prêts hypothécaires par an en 2013 bénéficiaient de GPC pour faciliter l’accès au crédit immobilier.
  • Garanties partielles de risques
    Les garanties partielles de risques couvrent spécifiquement les risques commerciaux ou politiques (transfert de devises, expropriation, guerres, etc.) liés à un projet ou investissement.
    Un exemple est la garantie partielle de risque de 30,2 millions de dollars de l’IDA pour le financement du projet Azito en Côte d’Ivoire.

Bien que leur déploiement reste limité dans de nombreux pays africains, ces instruments de garantie sont considérés comme un levier important pour développer le financement immobilier, notamment pour les populations à revenus modestes, en réduisant les risques pour les prêteurs.